La vérité sur l'origine du Covid-19

En complément de mon dernier article sur les interfaces d'hydrogel publié le 8 août 2023 ici-même, voici quelques rapides extraits du rapport de Karen Kingston, biologiste (1), qui nous démontre que ce que l'on appelle le "virus" du Covid-19, d'une part n'a rien à voir avec un virus "biologique" (en n'oubliant pas que leur existence telle qu'on nous la décrit n'a jamais été prouvée de façon indiscutable) et surtout d'autre part que la fable de la chauve-souris, du pangolin et du chinois du marché de Wuhan est une énorme fumisterie. Mais que c'est beaucoup plus grave.

Ce que je supposais depuis pas mal de temps, c'était que "quelque chose de bricolé" avait été largué (peu importe par quel moyen) à divers endroits de la planète de façon légèrement décalée dans le temps, (par exemple en Chine à Wuhan en automne 2019, puis l'Italie du nord autour de Bergame et Milan en fin d'année, et la France à Mulhouse en Alsace, en février 2020 et bien sûr aussi ailleurs, etc…)  de façon à pouvoir donner l'illusion d'une contamination virale. Contamination qui se repandrait comme une traînée de poudre, qui va paniquer les foules et leur imposer le "seul" remède possible : l'injection d'une sauce improbable, baptisée pour les besoins de la cause "vaccin". Dans l'inconscient collectif un vaccin est sensé protéger d'une maladie donnée (alors que ça a toujours été faux, mais c'est une autre histoire), donc la "protection"  promise (94% au lancement des premières fléchettes empoisonnées) cette protection était forcément au bout de la seringue. Je rappelle au sujet du "largage" du supposé virus, les "désinfections" par des agents en scaphandre spatial dans les rues de diverses villes, chinoises et européennes. Était-ce vraiment du désinfectant ???

Ce dont on se rappelle peut-être un peu moins, c'est le discours qu'a tenu un certain Emmanuel Macron très exactement le dimanche soir15 mars 2020. (Dans les autres pays les dirigeants ont tenu le même genre de discours).

Il a répété à 6 reprises très exactement que NOUS SOMMES EN GUERRE. Il n'a juste pas précisé quels sont les belligérants, contre qui nous devons nous protéger, et surtout précisément qui était visé. Il a juste désigné le méchant virus agresseur qui nous guette à chaque coin de rue. Une entité par définition invisible. Quelle aubaine ! Une guerre contre l'invisible… On ne peut pas trouver meilleur scénario catastrophe pour affoler les foules !

Dans le rapport qui suit, cette question cruciale de guerre trouve des réponses précises et parfaitement documentées.

Car ce qu'on a appelé "le virus du Covid-19" n'est pas un virus contagieux plus ou moins grave, c'est tout "simplement" une arme biologique. 

Arme créée et diffusée à dessein par ceux-là même qui cherchent par tous les moyens à s'arroger le contrôle de toute la planète et tout ce qui y vit (ou survit). Et dirigée donc forcément contre la population.

Encore une petite remarque, ce rapport parle aussi, bien entendu des émissions d'adresses MAC par Bluetooth. Et des raisons de ce phénomène. Que j'avais déjà abondamment documenté dès la fin 2021, début 2022.

J'ajouterai un autre phénomène clinique que je n'ai pas vu mentionné explicitement ici, à moins qu'il ne m'ait échappé, c'est la coagulation sanguine (agglomération anormale de globules rouges dans le sérum sanguin). Cette agglomération est, entre autres, la conséquence de la charge positive des nanoparticules lipidiques, qui vont "aimanter" le fer contenu dans les globules rouges. Ce qui provoque le phénomène que les analyses de sang de personnes vaccinées ont montré par ceux qui les ont analysés. Et les coagulations anormales dans le bas des poumons. On a assassiné par suroxygénation toutes les personnes qui montraient qu'elles manquaient d'air. Sauf qu'elles ne manquaient pas d'un apport d'oxygène, mais c'est l'extraction de l'oxygène pour le convertir en ferritine sanguine dans les poumons qui ne fonctionnait plus du fait de la coagulation anormale dans les micro-vaisseaux pulmonaires qui bloquait la circulation sanguine..

Pour ne pas alourdir ce résumé, je n'ai pas intégré les copies d'écran du rapport original, mais j'y ai inclus des liens vers les diverses sources citées.

Le rapport intégral en français est disponible ici

Au cas ou ce lien ne fonctionnerait pas il est aussi disponible ici

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Parties 1 et 2 du rapport :

Selon Karen Kingston, certaines villes ont été pulvérisées avec ce qu'ils ont appelé le virus Sars-Cov2 alias Covid-19, mais qui était en fait une arme biologique avec des nanoparticules biosynthétiques dotées d'Intelligence Artificielle (IA) appelées protéines Spike.

Ce qui revient à dire que la protéine Spike, hautement mortelle, est en fait un hydrogel magnétique IA enfermé dans une nanoparticule lipidique (LNP) utilisée pour expérimenter, blesser et exécuter des humains. C'est la définition parfaite d'une arme biologique.

Alors qu'ils nous ont convaincus que le virus Sras-Cov2 à ARNm produit la protéine Spike hautement mortelle après que l'ARNm a envahi les cellules de l'organisme. Sauf qu'il y a un problème majeur avec cette affirmation, il existe un ensemble de preuves scientifiques confirmant que l'ARNm (artificiel) est hautement instable, fragile et impuissant (en somme faible et inutile à l'intérieur du corps humain). [à noter que l'ARN messager naturel dans nos cellules ne survit que quelques minutes à quelques heures, juste le temps d'effectuer son 'travail" d'activation d'enzymes, de protéines, etc.]

Selon la publication "Overcomming Cellular Barriers for RNA Therapeutics in RNA", les thérapies géniques à base d'ARN, y compris les ARNm, sont incapables d'infecter les cellules, n'importe lesquelles, en raison de milliards d'années d'un mécanisme de défense évolutif, la bicouche lipidique.

C'est la technologie des nanoparticules lipidiques qui permet à la technologie d'édition de gènes d'ARNm d'envahir la bicouche lipidique des cellules, puis d'infecter, de se répliquer et de produire des protéines biosynthétiques et d'autres structures biosynthétiques commandées par la séquence d'ARNm.

Selon une conférence de 2018 à West Point [haute école militaire américaine] donnée par le professeur James Giordano au Modern War Institute, "ces nanoparticules lipidiques (LNP) ont été utilisées comme nano armes pour détourner émotionnellement et mentalement des dirigeants influents et peuvent être utilisées pour induire une pandémie de «préoccupés (changement d’humeur) » ou 'pandémie d'AVC."

« Les exemptions pour la santé et l'utilisation expérimentale de routine peuvent créer une zone grise dans laquelle des enquêtes sur la viabilité et l'emploi en tant qu'armes peuvent être entreprises »

"Prof James Giordano. Dod IAC, Defense Tech Info Center.

Une autre tromperie que nous avons été amenés à croire est que la séquence d'ARNm est un véritable virus synthétique préchargé dans les "vaccins". La séquence d'ARNm n'est pas un virus synthétique. C'est une séquence de programme informatique. La nanotechnologie lipidique effectue l'édition des gènes et produit les protéines directement à l'intérieur du corps.

La séquence du virus de l'ARNm du SRAS-CoV-2 qui a été publiée sur le globe et qui se trouve dans les «vaccins» serait complètement inutile, incapable d'infecter les cellules et n'aurait pas la capacité de produire des anticorps sans les nanoparticules lipidiques (LNP) et les hydrogels magnétiques IA . Cela signifie également que la pandémie de COVID-19 était impossible sans les PNL. Le COVID-19 n'a pas été causé par un virus SARS-CoV-2 à gain de fonction d'ARNm. Le COVID-19 a été causé par une nano arme IA.

Dans son article soumis à PNAS le 4 septembre 2015 intitulé « SAR-like WIV1-CoV Poised for Human Emergence », Ralph Baric reconnaît que les virus à ARNm de coronavirus (y compris le SARS-CoV-2) ne sont pas capables de transmission humaine de type épidémique.

L'article indique que "le cluster WIV1-coronavirus (CoV)... peut subir une transmission limitée dans les populations humaines... l'atténuation in vivo (l'atténuation signifie que le SRAS-CoV-2 devient extrêmement faible une fois à l'intérieur du corps humain) suggère qu'une adaptation supplémentaire est nécessaire pour les maladies épidémiques .”

En 2015, Baric a reconnu que les coronavirus à ARNm étaient inutiles en eux-mêmes. Il déclare clairement que les coronavirus à ARNm (y compris le SRAS-CoV-2) n'ont pas de "potentiel épidémique".

Ralph Baric travaillait sur les gains de fonction avec Peter Daszak 'd'EcoHealthAlliance et du Dr Zhengli Shi de l'institut de virologie de Wuhan. Ce trio a concocté d'innombrables "virus à ARNm à gain de fonction, zika, ebola, grippe, Vih et bien d'autres. Pas seulement des coronavirus.

Dans la proposition d'EcoHealthAlliance [dont la fondation Bill et Mélinda Gates est un contributeur institutionnel) soumise par le trio à la Darpa [Agence de défense et de recherches avancée américaine qui travaille en étroite collaboration avec le DoD, département de la défense], Baric et Shi étaient chargés de développer les armes biologiques chimériques à protéine spike à gain de fonction à partir de la bibliothèque de coronavirus à ARNm que l'équipe avait déjà créée.

Il s'agissait donc de créer, à partir de ce que Baric qualifiait d'inutile, quelque chose d'infectieux, de mortel et potentiellement pandémique à partir de ses "virus" à ARNm.

La proposition DARPA de l'Alliance EcoHealth de 2018 indique clairement,

"NOUS DÉVELOPPERONS DES SPIKE-PROTÉINES CHIMÉRIQUES recombinantes à partir du SARSr-CoV connu ...ET LES INCORPORERONS DANS DES NANOPARTICULES..."

 Les séquences des protéines spike sont créées en laboratoire, fusionnées avec des points quantiques, puis chargées dans les nanoparticules lipidiques (LNP).

Les "protéines spike" sont des armes biologiques ARNm à base de « quantum dot » Ai.

Les nanoparticules lipidiques (LNP) sont les armes biologiques d'Ai, tout comme les protéines de pointe.

IMPORTANT : La protéine de pointe S-2P du WIV-1, hautement mortelle, est également une invention distincte du SARS-CoV-2. Ce n'est pas la séquence du SARS-CoV-2 qui produit la protéine WIV-S-2P spike. La protéine WIV-S-2P spike et les autres protéines S-2P spike sont fabriquées en laboratoire et ont leur propre brevet déposé par Barney Graham du NIAID/NIH et Jason McLellan de l'Université du Texas.

Dans la proposition de la DARPA, Daszak déclare également qu'ils vont infecter les chauves-souris en livrant la technologie des nanoparticules lipidiques (LNP) aux protéines de pointe encapsulées sous la forme d'un patch transdermique (peau), d'un gel à manger pour les chauves-souris, d'un gel pour leur la peau ou des aérosols inhalés.

L'hypothèse selon laquelle les épidémies initiales de SRAS-CoV-2 de 2019 et 2020 impliquaient des attaques d'armes biologiques en aérosol est plus que hautement probable.

La proposition de la DARPA stipule qu'ils vont infecter les chauves-souris avec « des pulvérisateurs d'aérosols conçus pour les grottes ; et des pulvérisations automatisées déclenchées par des minuteries et des détecteurs de mouvement aux points d'entrée critiques de la grotte. »

Le virus à ARNm du SRAS-CoV-2 n'a jamais été mortel ni contagieux. Je ne saurais trop insister là-dessus, ce n'est pas le SRAS-CoV-2 qui a causé le COVID-19. La maladie, les handicaps et la mort du COVID-19 sont le produit des armes biologiques Ai.

Les propres recherches de l'inventeur du virus de l'ARNm du SRAS-CoV-2, Ralph Baric, ont déclaré que même si les humains sont infectés par le SRAS-CoV-2 par un mécanisme de transmission directe d'origine humaine, la transmission interhumaine s'est avérée impossible. C'est pourquoi la théorie selon laquelle le SRAS-CoV-2 était une fuite de laboratoire est complètement démentie.

COVID-19 devait être une attaque intentionnelle d'arme biologique Ai pour causer le type de blessures et de décès signalés pour la première fois dans le monde au début de 2020. Le nombre de décès et de blessures a augmenté de façon exponentielle en raison de la présence de l'arme biologique Ai dans les injections de COVID-19 et aussi en circulation dans nos environnements.

L'absence de transmission interhumaine est en outre validée par des données probantes du monde réel sur les taux d'infection des travailleurs hospitaliers à l'hôpital à côté du marché de Wuhan. Le taux d'infection des travailleurs hospitaliers au point zéro était de 0,000 %.

Publié le 8 décembre 2020 dans Immunity, Inflammation, and Disease, 191 employés de l'hôpital de Wuhan ont été testés pour les anticorps du SRAS-CoV-2 via des prélèvements de gorge et des analyses de sang. Tous les tests sont revenus négatifs. Deux cent vingt-deux (222) travailleurs hospitaliers ont également subi des radiographies pulmonaires. Toutes les radiographies pulmonaires sont revenues propres.

Le CDC induisait intentionnellement en erreur le public américain en lui faisant croire que le SRAS-CoV-2 était capable de transmission interhumaine. Selon les propres données des CDC publiées le 15 décembre 2021, les tests PCR autorisés pour une utilisation d'urgence (EUA) utilisés tout au long de 2020 et 2021 ont donné des tests faussement positifs allant jusqu'à 97 %.

Les prétendus tests PCR ont été des accessoires de théâtre pour convaincre le monde que l'histoire du Covid-19 était une pandémie. Alors que ces tests sont aussi efficaces pour mesurer les infections que l'argent du Monopoly l'est pour acheter une nouvelle voiture ou une nouvelle maison.

La demande de tests obsessionnels dans les écoles était et est une forme très sombre d'abus émotionnel et psychologique. Une vraie paranoïa.

Ces tests servaient uniquement à collecter les données génétiques des diverses populations, dans l'idée de cibler l'une ou l'autre population avec des agents toxiques/mortels.

Nous sommes leurrés à croire que nous sommes menacés par un virus hautement contagieux et mortel et ses variants infinis, (ce qui en passant est démenti dans les faits jusqu'à l'introduction des injections), alors qu'en fait il s'agit d'une arme biologique IA lâchée sur la population humaine mondiale. Cette tromperie est l'une des plus perverses de l'histoire de l'humanité.

Partie 3 :

Après l'autorisation définitive de mise sur le marché, PFIZER devait fournir une liste et une description complètes des nanoparticules lipidiques d'édition de gènes et des neurotechnologies contenues dans les injections, conformément à l'article 21 USC 814.9, dans les deux semaines suivant l'approbation.

Les brevets relatifs au "vaccin" à ARNm indiquent que les nanoparticules lipidiques ont des applications diagnostiques. Un diagnostic est un dispositif et est soumis à 21 USC 814.9.

En vertu de l'article 21 USC 814.9, PFIZER et la FDA/Centers for Device and Radiological Health (CDRH) auraient pu être contraints de divulguer la nanotechnologie Ai contenue dans les vaccins.

L'attention du public a été détournée par une déclaration du Dr Malone qui prétendait, à tort, que l'AMM avait été accordée à BioNtech et non pas à Pfizer. Ce qui était faux, mais a permis à Pfizer d'éviter de fournir des documents très gênants…

Une neurotechnologie Ai peut être utilisée comme une neuro-arme dans la guerre ou comme un dispositif médical dans les soins de santé.

Partie 4 :

Le récit selon lequel le nouveau virus du SRAS-CoV-2 de type "sauvage" ou à ARNm (vaccinal) détourne les cellules pour produire biologiquement des protéines de pointe, provoquant ainsi des inflammations et des maladies, est une stratégie d'éclairage trompeuse et fausse qui a conduit à la maladie, aux handicaps et à la mort de millions d'adultes et d'enfants dans le monde.

Les citoyens du monde ont été manipulés pour faire croire que le virus SRAS-CoV-2 était très infectieux et produisait des protéines de pointe très mortelles. Ce récit trompeur était nécessaire pour susciter la peur et la confiance aveugle qui seraient nécessaires pour lancer avec succès la guerre de COVID-19 contre l'humanité, y compris l'acceptation par le monde entier des injections mortelles de l'arme biologique COVID-19.

En termes militaires, le récit du virus SRAS-CoV-2 et de la protéine spike est une psyop (opération psychologique).

Ce qui est encore plus trompeur que le faux récit sur le SRAS-CoV-2, ce sont les fausses affirmations qui nous ont été faites sur les protéines de pointe.

Les " protéines de pointe " du SRAS-CoV-2 ne sont pas des protéines biologiques produites par les cellules du corps humain. Les "protéines de pointe" du SRAS-CoV-2 sont des hydrogels magnétiques intelligents encapsulés dans des nanoparticules lipidiques (LNP) PEGylées.

Les protéines spike sont des armes biologiques Ai qui représentent une plus grande menace pour l'humanité qu'une bombe nucléaire.

Partie 5 :

Pourquoi un ingénieur de l'armée américaine, né en Chine, a-t-il mis au point une nanotechnologie permettant d'administrer des points quantiques à des humains ? Une technologie de nano-arme appartenant à l'armée chinoise et utilisée dans les vaccins COVID-19.

Les points quantiques et autres nanotechnologies sont des termes étrangers pour la plupart d'entre nous. Ce sont des concepts étrangers dont beaucoup de gens ont du mal à comprendre l'existence même. Bien qu'elles ne soient pas très connues, les nanotechnologies telles que les points quantiques, les hydrogels, l'oxyde de graphène et les nanotubes de carbone à paroi simple (SWCNT) sont utilisées depuis plus de dix ans dans les appareils électroniques grand public, les produits de santé, les aliments et les boissons, les neuro-armes militaires et la recherche et les applications des appareils médicaux.

 Si les points quantiques semblent être littéralement partout (omniprésents), pourquoi la plupart des personnes ne savent-ils pas ce que sont les points quantiques ?

L'une des raisons est peut-être qu'ils sont invisibles. Les points quantiques ont une taille inférieure à 1/100e de micron.

Les champs et fréquences électromagnétiques émis par les points quantiques peuvent provoquer des maladies et des dysfonctionnements émotionnels, psychologiques et physiques dans notre corps. Les points quantiques peuvent être utilisés comme des armes neurologiques et peuvent provoquer de graves perturbations de vos émotions, de votre énergie, de vos capacités physiques et de votre capacité à penser correctement (brouillard cérébral).

Il est évident que les injections de COVID-19 contiennent des nanotechnologies qui peuvent accueillir des champs électromagnétiques et recevoir des signaux. Des personnes sont magnétiques et souffrent de l'apparition rapide de troubles neurologiques et d'hallucinations, entraînant parfois la mort.

Les scientifiques et les chercheurs ont observé la nanotechnologie auto-assemblée en examinant les ingrédients des flacons de COVID-19 au microscope électronique.

Selon le brevet US 10703789 B2 de MODERNA, que l'on peut trouver sur le site Web de MODERNA, la technologie de tous les vaccins COVID-19 à ARNm utilise la technologie des nanoparticules lipidiques (LNP).

Selon les sections 219 du document MODERNA US 10703789 B2, les nanoparticules lipidiques (LNP) sont des technologies d'autoassemblage entièrement programmables.

Le brevet US 0028565 A1 a breveté la fonctionnalité de la nanotechnologie dans les injections d'armes biologiques COVID-19 pour assurer une biodistribution rapide, facile et ciblée des nanoparticules dans tout le corps.

Cette nanotechnologie de «vaccin» COVID-19 est un point quantique. J'ai fait un reportage sur US 0028565 A1 en août 2021 dans l'émission de Pete Sentilli.

Depuis qu'il a rendu compte publiquement de ce brevet l'été dernier dans plusieurs salons, l'office américain des brevets a bloqué l'accès au public américain au brevet US 0028565 A1. En Europe il est encore accessible, le voici.

Selon US 0028565 A1, la fonctionnalité du point quantique est basée sur la mécanique quantique de la particule de Bohr. En raison de la mécanique quantique, des points quantiques qui ont été injectés aux citoyens américains et mondiaux au moyen des armes biologiques COVID-19 peuvent littéralement apparaître dans le corps humain en fonction de fréquences électromagnétiques (EMF) spécifiques ou disparaître en fonction de fréquences spécifiques.

Selon US 0028565 A1, les points quantiques répondent aux hautes et courtes fréquences qui émettent de la lumière bleue. À ces fréquences plus élevées, la taille des points quantiques se réduit, ce qui leur permet de se connecter, de recevoir et d'émettre des fréquences du champ quantique.

L'utilisation de la technologie des points quantiques chez l'homme est réglementée par les Centers of Devices & Radiological Health (CDHR) de la FDA car ce sont des appareils électroniques qui émettent des radiations.

Selon la publication du livre de 2011, Quantum Confinement Effect, les points quantiques sont capables de produire des étiquettes électromagnétiques (c'est-à-dire des adresses MAC par Bluetooth) à l'intérieur du corps et d'étiqueter les organes.

Par effet de confinement quantique, des recherches approfondies sur les animaux ont été menées à bien en utilisant des points quantiques pour envahir, cibler et marquer les principaux organes, tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, la rate et le cerveau.

Selon le site Web de ThermoFisher Scientific, les points quantiques (étiquettes Q-dot) peuvent être utilisés pour cibler, suivre et tracer, non seulement les tissus, mais même les cellules individuelles.

Partie 6 :

Avant le Covid-19, le NIH définissait le gain de fonction (GOF) comme :

"La recherche sur le gain de fonction implique une expérimentation qui vise ou devrait augmenter la transmissibilité et/ou la virulence des agents pathogènes."

 Un agent pathogène est tout organisme infectieux qui peut causer des maladies, des handicaps ou la mort. Sur la base de cette définition, la recherche sur le gain de fonction ne concerne pas exclusivement les modifications génétiques des agents pathogènes, également appelées virus à ARNm à gain de fonction.

Selon la définition historique, le gain de fonction peut inclure la technologie en tant que mécanisme de livraison. Par exemple, l'utilisation de la technologie pour aérosoliser un virus à ARNm transformé en arme. Mais au-delà de l'utilisation de la technologie comme dispositif de délivrance, la définition historique du gain de fonction incluait la fusion d'un organisme pathogène avec les nanotechnologies, la fusion de la biologie avec la technologie pour créer une arme biologique Ai.

C'était la définition du gain de fonction, jusqu'à ce que le NIH la modifie en 2021.

Contrairement à la définition 2020 du NIH de la recherche sur le gain de fonction (GOF), la nouvelle définition exclut l'intégration d'un agent pathogène organique avec la technologie ou le développement d'armes biologiques Ai.

Selon la publication du 26 mai 2022, « Oversight of Gain of Function Research with Pathogens: Issues for Congress », la définition révisée du NIH de la recherche sur le gain de fonction :

"Le terme GAIN DE FONCTION fait référence à TOUTE MUTATION GÉNÉTIQUE dans un organisme qui confère (résulte en) une capacité nouvelle ou améliorée."

Après des décennies de recherche, les experts conviennent (y compris Ralph Baric, l'inventeur du SARS-CoV-2), que les virus à ARNm sont complètement inutiles à l'intérieur du corps humain par eux-mêmes. Les virus à ARNm GOF n'ont aucune utilité, à moins que les séquences d'ARNm ne soient fusionnées avec une nanotechnologie avancée et encapsulées dans un système de délivrance.

Il est scientifiquement impossible que le SRAS-CoV-2 infecte les humains sans la technologie des nanoparticules lipidiques.

 Par le 23 août 2021, la demande de licence biologique approuvée par la FDA pour les vaccins COVID-19 de PFIZER :

"COMIRNATY contient de l'ARNm de SARs-CoV-2 qui est formulé dans des lipides (nanoparticules)."

Des décennies de preuves scientifiques, de recherches et de documents gouvernementaux ont démontré de manière irréfutable que le SARs-CoV-2 ne peut pas pénétrer dans les cellules humaines sans les nanoparticules lipidiques (LNP) car tous les virus à ARNm GOF génétiquement modifiés sont des molécules fragiles et instables.

 La transmission interhumaine du SARS-CoV-2 est impossible sans la technologie des nanoparticules lipidiques (LNP). Le NIH a financé la fusion de séquences virales avec une nanoarme Ai biosynthétique, qui ne répond pas à la définition actuelle du NIH de la recherche GOF.

 Selon la nouvelle définition du NIH, la recherche virale sur l'ARNm à gain de fonction se limite à l'édition génétique de virus biologiques et ne devrait pas être une préoccupation, à part une énorme quantité d'argent gaspillé.

Selon le Gateway Pundit, le Dr Andrew Huff, ancien vice-président d'EcoHealth Alliance, s'est associé à l'avocat Thomas Renz, pour envoyer un rapport au Congrès sur les origines « RÉELLES » du SRAS-CoV-2 et pour confirmer qu'il s'agissait d'un gain de -recherche fonctionnelle, financée par Ralph Baric de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV).

En lisant le 12 septembre 2022, Renz Law Report dans son intégralité, tout adulte logique conclurait que le témoignage d'expert et les conseils du Dr Andrew Huff confirment que la recherche GOF financée par le NIH / NIAID (Fauci) via EcoHealth Alliance et Ralph Baric, puis achevé au laboratoire de Wuhan, était destiné aux modifications génétiques de nouveaux coronavirus et à la création de SARs-CoV-2.

Ce que le docteur Huff n'a pas mentionné, c'est que toutes les modifications d'édition de gènes à « gain de fonction » du virus SARS-CoV-2 et de la protéine de pointe étaient inutiles à moins que la protéine de pointe ne soit fusionnée avec la nanotechnologie qui empêche le virus de l'ARNm de se désintégrer. dans les airs...

"Les gens avaient l'habitude de dire que si vous le regardiez mal (l'ARNm), il s'effondrerait." - Directeur de la technologie de Sanofi, responsable de la recherche mondiale sur les ARNm, Frank DeRosa

…puis encapsuler la protéine de pointe ou l'ARNm dans une nanotechnologie qui peut héberger une charge ionique positive pour pénétrer la bicouche lipidique de la membrane cellulaire….

…. et ensuite utiliser des nanoparticules lipidiques pour infecter les mammifères (humains) via une attaque par aérosol, une attaque par contact de surface ou la contamination de nos aliments et boissons avec l'arme biologique ARNm GOF Ai.

Les conseils d'experts de Huff indiquent que les séquences virales d'ARNm GOF créées à partir d'un laboratoire de recherche sur les chauves-souris au Laos, en Chine, correspondaient presque au virus SARs-CoV-2. Huff indique qu'il n'y a aucune preuve pour étayer la théorie selon laquelle le virus SARS-CoV-2 a été transmis des chauves-souris aux humains.

Huff a omis de mentionner qu'il n'y a aucune preuve pour soutenir la transmission interhumaine non plus, sur la base d'un mécanisme de défense évolutif de 4 milliards d'années appelé la bicouche lipidique trouvée dans toutes les cellules vivantes organiques. À moins que… les virus à ARNm GOF et les protéines de pointe ne soient encapsulés dans des nanoparticules lipidiques qui hébergent une charge ionique positive pour pénétrer la paroi cellulaire.

Les séquences de protéines de pointe sont créées dans un laboratoire, fusionnées avec des points quantiques, encapsulées dans des nanotubes de carbone, puis chargées dans des nanoparticules lipidiques.

La vérité est que la recherche GOF sur l'ARNm du NIH / EcoHealth a financé le développement d'armes biologiques parasitaires Ai (ARNm Qdot) qui sont fournies dans des technologies avancées de nanoparticules lipidiques et peuvent inoculer (infecter) les animaux et les humains par le biais de pulvérisations d'aérosols et de la contamination des gels, de la nourriture, et les boissons, comme l'indique la proposition de la DARPA.

Partie 7 :

Les « vaccins » à ARNm COVID-19 contiennent de l'ARNm Qdot®. Qdot pénètre dans le noyau des cellules, supprime les séquences d'ARN et intègre de nouvelles séquences génétiques d'ARNmodifié dans le génome d'ADN.

Le brevet QDot® de ThermoFisher Scientific, US Patent 0228565 A1, fournit des détails sur la façon dont :

Qdot® crée une charge ionique pour pénétrer la paroi cellulaire et le noyau des cellules.

Qdot® utilise FISH et SERS pour cibler, extraire, analyser et séquencer l'ADN des cellules.

Qdot® effectue l'édition de gènes à l'intérieur des cellules humaines à l'aide de CRISPR (ARNm, siARN) et d'autres technologies d'édition de gènes pour supprimer et remplacer des séquences de gènes partielles afin de modifier de manière permanente l'ADN des cellules à l'intérieur de notre corps et du génome humain.

Pas étonnant que Bill Gates, ThermoFisher Scientific et des milliardaires mondiaux aient voulu garder ce brevet secret commercial et en bloquer l'accès public.

ThermoFisher Scientific (Life Technologies) est le propriétaire de la propriété intellectuelle (PI) décrite dans le brevet américain 0228565 A1. ThermoFisher a laissé expirer le brevet Qdot® afin de convertir la propriété intellectuelle Qdot® en secret commercial.

Les nanotechnologies à base d'oxyde de graphène, telles que les nanotubes de carbone à paroi unique (SWCNT) qui encapsulent QDot®, sont des technologies de semi-conducteurs. Les nanotechnologies semi-conductrices peuvent conduire et héberger des champs électromagnétiques (EMF) et sont de puissants récepteurs pour les signaux d'impulsions électromagnétiques (EMP) et les attaques EMP.

Qdot® émet des rayonnements ultraviolets et infrarouges, provoquant la mort cellulaire, le cancer et même des rayonnements micro-ondes à l'intérieur du corps.

À quoi servent les ARNm Qdot® ?

Qdot® cible et marque les organes, les tissus et les cellules à l'intérieur du corps humain.

Des billions de Qdot® ont été injectés à chaque adulte ou enfant américain ayant reçu un « vaccin » COVID-19.

Selon le brevet ThermoFisher Qdot®, brevet américain 0228565 A1, Qdot® utilise également FISH (hybridation fluorescente in situ) pour cibler les séquences d'ADN et d'ARN dans les cellules. FISH utilise des sondes d'ADN fluorescentes pour cibler les emplacements cellulaires précis d'une séquence génétique dans les cellules.

 Une fois que les cellules à l'intérieur du corps humain ont été ciblées par FISH et Qdot®, Qdot® utilise CRISPR pour effectuer une véritable édition de gènes d'ARNm avec gain de fonction des cellules et des virus à l'intérieur de notre corps.

Les virus à ARNm à gain de fonction sont complètement inutiles en eux-mêmes. L'ARNm nu se désintègre avant même d'entrer dans le corps et incapable d'infecter les humains. Les virus à ARNm GOF ont dû être fusionnés avec les nanotechnologies, c'est-à-dire Qdot®, afin d'avoir la charge ionique positive nécessaire pour pénétrer les parois cellulaires et provoquer une infection.

Les fonctions d'édition de gènes à l'intérieur du corps humain de l'ARNm Qdot® incluent la traduction et la transfection. Lorsque les experts en vaccins à ARNm nous ont informés que les virus à ARNm GOF, y compris le SRAS-CoV-2, sont capables de transmission interhumaine, ou que les vaccins COVID-19 ne pouvaient pas éditer génétiquement l'ADN de nos cellules ou du génome humain , ils ont menti. Ils continuent de mentir au peuple américain.

ARNm Qdot® délivre de l'ARNm directement dans le noyau d'une cellule pour intégrer de l'ADN étranger (nouvelles séquences génétiques) dans le génome d'une cellule.

Selon le brevet de ThermoFisher Scientific, Qdot® est capable d'effectuer avec succès l'édition génétique in vivo (à l'intérieur du corps) de cellules humaines en utilisant la SERS (Surface Enhanced RAMAN Spectroscopy). Les sondes SERS sont des nanosondes d'ADN constituées d'alliages métalliques tels que l'or, le cuivre, le platine, l'aluminium, l'argent, le palladium, etc.

Qdot® permet aux nanosondes métalliques SERS d'utiliser la technologie CRISPR dans l'ordre ; séquencer l'ADN du noyau d'une cellule ; supprimer les séquences de gènes ciblées ; puis remplacer les séquences supprimées par de nouvelles séquences génétiques afin de transformer les citoyens du monde et nos enfants en la nouvelle espèce humaine hybride.

Les tests PCR testent la réussite de l'hybridation ADN Ai-humain. Les tests PCR sont destinés à la collecte de nos données génétiques à des fins d'expérimentation génétique et d'extermination de civils et militaires américains et mondiaux.

Qdot® permet l'intégration physique (adsorption) et génétique des métaux dans les cellules humaines. Les cellules infectées par les nanoparticules lipidiques d'ARNm COVID-19 (LNP) ne sont plus des cellules humaines. Les cellules humaines à l'intérieur de notre corps passeront par un processus d'apoptose (mort cellulaire) et le nanogel Ai propulsé par Qdot® prendra en charge les fonctions et les structures cellulaires.

Qdot® permet l'intégration physique (adsorption) et génétique des métaux dans les cellules humaines. Les cellules infectées par les nanoparticules lipidiques d'ARNm COVID-19 (LNP) ne sont plus des cellules humaines. Les cellules humaines à l'intérieur de notre corps passeront par un processus d'apoptose (mort cellulaire) et le nanogel Ai propulsé par Qdot® prendra en charge les fonctions et les structures cellulaires.

Partie 8 :

Tous les traitements préventifs COVID-19 contiennent des appareils électroniques qui peuvent émettre des signaux Bluetooth pour suivre et tracer les citoyens vaccinés via leur géolocalisation.

Si vous lisez cet article, vous savez probablement que les « vaccins » COVID-19 ne sont pas des vaccins, mais des armes biologiques. Les parties 4, 5 et 7 de cette série fournissent des détails sur la façon dont les injections de COVID-19 ne contiennent pas de virus ARNm synthétiques SARs-CoV-2, mais sont des mécanismes de livraison pour les armes biologiques parasites Ai. Ces armes biologiques Ai sont un hydrogel Ai génétiquement modifié dont la source d'énergie est un point quantique alimenté par la 5G et la fibre optique.

Les armes biologiques parasites Ai qui peuvent être délivrées par une aiguille sont également ce qu'on nous a dit être des «protéines de pointe». Les protéines de pointe auxquelles nous avons été exposés dans notre environnement, nos communautés et nos maisons sont des armes de destruction massive.

Des hommes, des femmes et des enfants du monde entier vivent la douleur et la souffrance que ces démons ont infligées à l'humanité. Beaucoup souffrent physiquement d'une maladie que le CDC appelle Long- ou Post-COVID.

Les symptômes de Post-COVID, comprennent ; fatigue ou fatigue, difficulté à penser, à se concentrer, oubli ou problèmes de mémoire, brouillard cérébral, difficulté à respirer, essoufflement, douleurs articulaires ou musculaires, battements rapides ou battements cardiaques, douleurs thoraciques, étourdissements en position debout, changements menstruels, changements de goût /odeur ou incapacité à faire de l'exercice.

La majorité de ces symptômes indiquent une attaque par une arme neurologique sur le cerveau et le système nerveux central. Alors que le CDC affirme que l'incidence des conditions post-COVID survient chez moins de 15% des Américains, la plupart d'entre nous ont connu ces symptômes neurologiques et de nombreux autres symptômes physiques débilitants, bien que nous ne soyons pas vaccinés.

Selon le CDC, les dommages neurologiques et les blessures physiques importants causés par le post-COVID peuvent affecter les adultes et les enfants qui n'ont jamais eu de symptômes de COVID-19, qui ne sont pas vaccinés et qui n'ont jamais été testés positifs pour le COVID-19.

Comment des adultes et des enfants peuvent-ils souffrir d'une maladie causée par le COVID-19 (d'où le nom Post-COVID), s'ils n'ont même jamais eu le COVID-19 ?

Les mégalomanes génocidaires mondiaux ne sont pas seulement déterminés à suivre, retrouver et contrôler chaque citoyen du monde avec des vaccins COVID-19, ils sont également déterminés à détruire l'humanité en infectant chaque être humain avec des armes biologiques parasites Ai.

Le brevet américain 11107588 B2 est le brevet de la technologie de suivi et de traçabilité de tous les vaccins COVID-19 mondiaux. Ce brevet a également été délivré en Israël et aux Emirats Arabes Unis.

Le brevet américain 11107588 B2 décrit les «symptômes du COVID-19» en utilisant le même verbiage que le CDC utilise pour les symptômes du post-COVID. Les directives et le brevet du CDC indiquent que la maladie post-COVID peut apparaître chez des personnes qui n'ont présenté aucun symptôme et qui n'ont jamais eu de COVID-19.

L'humanité est à nouveau sous le feu des gaz, maintenant à croire que des personnes en parfaite santé connaissent des apparitions rapides et débilitantes de déficiences neurologiques et de handicaps physiques à cause d'un virus respiratoire à ARNm à gain de fonction avec lequel elles n'ont jamais été infectées.

Techniquement, personne n'a été infecté par le virus SARS-CoV-2 car ce n'était pas un virus, c'était une arme biologique parasitaire Ai qui a été volontairement diffusée sur tout le globe, pas un virus ARNm GOF, malgré le témoignage du Dr Andrew Huff au Sénat .

Selon l'article 28 du brevet, les vaccins COVID-19 et tous les traitements préventifs COVID-19 contiennent des inventions qui sont des dispositifs électroniques qui peuvent émettre des signaux Bluetooth pour suivre et tracer les citoyens vaccinés via leurs géolocalisations.

De plus, selon l'article 28 du brevet, les vaccins COVID-19 et tous les traitements préventifs COVID-19 peuvent également contenir un micro-organisme à l'état affaibli ou vivant, un micro-organisme tel qu'un parasite Ai.

Tous les vaccins COVID-19 répertoriés sur le site Web de l'Organisation mondiale de la santé contiennent la technologie intelligente Bluetooth et les micro-organismes Ai.

Partie 9 :

Descriptif du fonctionnement de l'ARN naturel "normal"

Puis : Comme le NIH, PFIZER explique, "l'ARNm - ou ARN messager - est une molécule qui contient les instructions ou la recette qui dirige les cellules pour fabriquer une protéine en utilisant sa machinerie naturelle." Jusqu'ici je suppose que PFIZER parle d'ARNm naturel.

Le site Web de PFIZER continue avec, "Pour entrer en douceur dans les cellules, l'ARNm se déplace dans une bulle protectrice appelée nanoparticule lipidique."

PFIZER a commencé avec une définition qui pouvait décrire l'ARNm naturel ou synthétique, puis est passé à la technologie de l'ARNm sans clarifier la transition.

Les corps humains n'ont pas naturellement de nanoparticules lipidiques portant des séquences d'ARNm flottant en eux. Les nanoparticules lipidiques sont des technologies (dispositifs), pas des produits biologiques et donc pas des vaccins. Les nanoparticules lipidiques ne se trouvent pas naturellement dans le corps.

Il est statistiquement et scientifiquement impossible que la séquence d'ARNm du SRAS-CoV-2 ou les séquences d'ARNm de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 pénètrent dans une cellule vivante sans la technologie des nanoparticules lipidiques (LNP).

Les experts en ARNm conviennent que «les molécules d'ARNm fragiles (codons du SRAS-CoV-2) ne peuvent pas pénétrer seules dans les cellules». Cela signifie que le «virus» du SRAS-CoV-2 n'est pas un virus, mais une nanotechnologie d'arme biologique qui délivre des codes d'ARNm militarisés dans les cellules humaines.

Selon le site de PFIZER, "Bien que le mécanisme d'action de la technologie de l'ARNm soit relativement simple, une fois à l'intérieur des cellules, il leur demande de fabriquer des protéines."

Partie 10 :

Selon le BLA approuvé par la FDA de PFIZER, PFIZER déclare que «l'ARNm de COMIRNATY est… ..codant pour la glycoprotéine de pointe SARS-CoV-2 pleine longueur dérivée de l'isolat Wuhan-Hu-1 (WIV1)… la séquence d'ARN est codon- optimisé et contient deux mutations de la proline (2P)… ce qui assure… une confirmation pré-fusion trimérisée optimale (S-2P).

"L'ARNm de COMIRNATY code pour la glycoprotéine de pointe du SRAS-CoV-2, WIV1-2SP." - Soumission BLA de la FDA de PFIZER pour approbation de la FDA, approuvée par la FDA le 23 août 2021.

En d'autres termes, la protéine de pointe produite par le SRAS-COV-2 est l'arme biologique qui a initialement causé le COVID-19.

Les vaccins délivrent l'arme biologique. L'arme biologique à protéine de pointe WIV1-S-2P partage le brevet américain US 0061185 A1 avec d'autres armes biologiques à protéine de pointe CoV-S-2P.

Il est essentiel de noter que les «deux mutations de la proline» brevetées (S-2P) sont des toxines provenant du venin de serpent recréé synthétiquement et du virus de la rage.

Les toxines contenues dans les vaccins approuvés par la FDA sont classées comme neurotoxines. Selon le professeur James Giordano, conseiller de la DARPA et de la communauté du renseignement américain par l'intermédiaire de son organisation HDIAC, la toxine de serpent Krait et les toxines Cobra sont classées comme des neuro-armes.

James Giordano écrit que « les neuro-armes comprennent des médicaments pour dégrader les fonctions physiologiques et cognitives, et/ou pour modifier les états émotionnels afin d'affecter le désir ou la capacité d'agression et de combat ; des toxines organiques qui peuvent induire une paralysie neuromusculaire et la mort ; »

Giordano déclare clairement que les médicaments (ou « vaccins ») peuvent être utilisés pour réduire les capacités physiques et cognitives et augmenter ou diminuer divers états émotionnels, y compris la capacité d'agression ou de combat. Si vous vous demandez "Pourquoi les Américains ne se sont-ils pas unis pour sauver l'humanité", voici votre réponse.

Giordano poursuit en déclarant que "les agents microbiens (les bactéries et les virus - y compris les organismes "bio-piratés", génétiquement modifiés) qui peuvent entraîner différents niveaux de morbidité - ou de mortalité, et un certain nombre de technologies qui peuvent être utilisées modifier les fonctions sensorielles, perceptives, cognitives et motrices.

James Giordano déclare clairement que les ORGANISMES TECHNOLOGIQUES génétiquement modifiés et biohackés peuvent être appelés VIRUS. Le virus SARS-CoV-2, n'est pas un virus. Le SAR-CoV-2 est un parasite Ai qui est une arme de destruction massive, en partie biologique et en partie technologique (Ai).

Partie 11 :

Le Dr Fauci finance depuis des décennies la recherche sur le «gain de fonction sur les coronavirus» et continue de le faire. Fauci a payé EcoHealth Alliance, Peter Daszack, 4 402 107 $ pour la recherche sur le « coronavirus de chauve-souris à gain de fonction » entre 2014 et 2022.

La plus récente subvention de Fauci à Daszak pour la recherche sur le « coronavirus de chauve-souris à gain de fonction » a eu lieu le 21 septembre 2022 pour plus de 650 000 $.

Rien qu'en 2022, Fauci a versé à Daszak plus de 2,1 millions de dollars pour des « recherches sur le gain de fonction » en Asie du Sud-Est.

Le résumé de la recherche intitulé, Analyser le potentiel d'émergence future du coronavirus de chauve-souris, indique qu'EcoHealth Alliance va échantillonner les séquences génétiques de virus de chauves-souris via PCR, utiliser l'intelligence artificielle (apprentissage automatique) et la technologie de l'ARNm pour créer des versions humanisées du virus. (Attendez… ça empire) puis créer 27 « vaccins prototypes contre les agents pathogènes » qui contiendront les armes biologiques virales à gain de fonction créées par l'ARNm Ai (agents pathogènes).

Partie 12 :

Sous l'ancien secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS), Alex Azar II, les déclarations HHS requises pour délivrer les tests, procédures, médicaments et vaccins EUA COVID-19 ont été faites le ;

  • 1) Le 31 janvier 2020, déclarant qu'une urgence de santé publique existe aux États-Unis en raison d'un nouveau coronavirus.

Remarque : Cette déclaration est basée sur des cas confirmés. Comment peut-il y avoir des cas confirmés si le virus SARS-CoV-2 n'a pas encore été isolé ? Azar l'appelle le nouveau coronavirus (2019-nCoV), il n'a même pas encore été nommé. De plus, il n'y avait pas de tests fiables disponibles en janvier 2020 pour le «nCoV»… ou février 2020… ou mars 2020… ou jamais d'ailleurs.

Le CDC a même admis que les tests PCR SARS-CoV-2 utilisés tout au long de 2020 et 2021 avaient un taux de faux positifs de 97 %.

2) Le 4 février 2020, déclarant que le nouveau coronavirus de Wuhan pose un risque pour la santé publique si grand qu'il constitue une menace pour la sécurité nationale.

3) Le 27 mars 2020, le secrétaire Azar déclare que la menace nécessite des contre-mesures médicales (MCM) à usage d'urgence (EUA) pour combattre la menace, y compris des médicaments MCM et des produits biologiques (c'est-à-dire des vaccins à ARNm).

Il n'est pas déraisonnable de croire que le secrétaire Azar savait que les vaccins à ARNm causeraient le COVID-19, car le 22 octobre 2020, la FDA, les CDC et le HHS avaient la preuve que les vaccins à ARNm contre le COVID-19 causaient des maladies, des handicaps et la mort que tous répondre aux critères de symptômes de la maladie COVID-19.

PFIZER a même admis dans sa soumission de données de phase 3 EUA/intérimaire à la FDA le 20 novembre 2020, qu'il ne pouvait pas dire s'il s'agissait d'un virus ou des vaccins à ARNm de PFIZER qui ont causé une COVID-19 sévère chez 409 patients (en un- semaine de la première ou deuxième injection de PFIZER !)

En 2017, le NIH a breveté des technologies de vaccins à ARNm capables de délivrer des agents de guerre biologique.

Selon l'approbation de la FDA du 23 août 2021 par PFIZER, il existe des nanoparticules lipidiques pégylées (LNP) dans les vaccins à ARNm PFIZER COVID-19.

Fin du rapport de Karen Kingston

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  • (1) Karen Kingston est une analyste pharmaceutique, de dispositifs médicaux et de biotechnologies. Elle possède plus de 20 ans d’expérience dans le développement des affaires, le marketing, la rédaction scientifique, la vente, la prise de parole en public et le conseil stratégique. En tant que stratège exécutive, ses clients vont des start-ups aux leaders du Fortune 500, notamment Allergan, Pfizer, Johnson & Johnson, Medtronic et Thermo Fisher Scientific. Elle a développé des messages clés, des plans d'affaires, des stratégies de tarification, des campagnes mondiales, des stratégies de mise sur le marché et d'autres actifs marketing de base pour les produits en ligne et les lancements à succès.

Elle a débuté sa carrière en tant que représentante commerciale Pfizer très performante à New York et a été rapidement recrutée pour le côté marketing de l'entreprise. Elle a joué un rôle essentiel dans la relance du VIAGRA, en mettant l'accent sur les hommes plus jeunes et en donnant aux patients les moyens de parler du Viagra à leur médecin. Elle a dirigé des ateliers de formation commerciale, de marketing et de communication et est apparue sur FOX, MSNBC et CBS en tant que porte-parole et directrice du marketing américain pour InnoVision Labs.

En 2007, Karen fonde Varitage. Elle se spécialise dans l'amélioration de la génération, du développement et de la conversion de leads pour les clients B2B et B2C. Karen travaille en étroite collaboration avec ses clients et son équipe pour fournir des informations exploitables afin de prendre des décisions stratégiques en temps réel et éclairées qui se traduisent par des améliorations significatives des KPI marketing critiques.

Résumé très rapide et très court commentaire :

L'ennemi que Macron nous a présenté le 15.03.2020 n'est en aucun cas un virus muté naturellement, ni échappé accidentellement d'un laboratoire et résultat des amours improbables entre une chauve-souris qui aurait infecté un pangolin. Pangolin qu'un chinois inconnu aurait ingurgité.

C'est une arme biologique qui a été semée intentionnellement pour diminuer drastiquement la population mondiale, et permettre le contrôle TOTAL des survivants en les transformant en zombies informatisés et contrôlables à distance. Les "alibis" avancés de surpopulation, de préservation de la planète, de CO² humain ne sont que des leurres pour "noyer" toute tentative de contestation.

De même que nous avons eu l'argument fallacieux du "vaccinez-vous pour vous protéger et protéger les autres", nous avons maintenant le narratif du "sauvons la planète" (sous-entendu en détruisant toute la civilisation actuelle). Quoique si on considère les USA, Oscar Wilde disait déjà à leur sujet :      " Les Etats-Unis d'Amérique sforment un pays qui est passé directement de la barbarie à la décandence , sans jamais avoir connu la civilisation".

Depuis toujours, les "gouvernants" ont toujours cherché à non seulement contrôler les actes de leurs populations, mais également leurs façon de penser.

Bienvenue dans un monde totalement numérisé et déshumanisé.

La seule divergence qui subsiste encore actuellement sont les tensions entre les diverses factions qui dirigent ce génocide, à savoir les "anglo-saxons" qui veulent instaurer un monde monopolaire dont ils seraient bien entendu les seuls aux manettes de contrôle, et les "orientaux" (russes et chinois notamment et leurs "alliés" actuels et à venir) qui voudraient instaurer un monde multipolaire qu'ils contrôleraient eux.

Pour le citoyen lambda, la différence est très, très faible.

Puisque TOUS LES DEUX seraient totalement numérisés et contrôlés.

 

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