Pendant combien de temps la surmortalité vaccinale pourra-t-elle encore être glissée sous le tapis ?

En considérant les chiffres d'Euromomo, on est bel et bien obligé de se rendre compte d'un certain nombre d'évidences.

Pour se rendre compte de ce qui se passe réellement, nous allons chercher les décès par tranche d'âge, puisque quasi partout, et tout particulièrement en France, les injections ont été initiées par tranches d'âge. Je précise que les graphiques présentés ici, concernent bien entendu la France, mais aussi tous les autres pays européens participant à la base de données Euromomo.

Ce qui permet d'avoir une vue d'ensemble de ce qui se passe en Europe.

Prenons tout d'abord le graphique des décès tous âges et toutes causes confondus. Il s'agit ici du nombre de décès hebdomadaires, semaine par semaine donc :

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Depuis début Janvier 2017, nous voyons l'aspect "normal" de la courbe de mortalité telle qu'elle se perpétue depuis toujours. En hiver, l'être humain a plus de difficultés à maintenir son homéostasie (son équilibre énergétique et vital). D'autant plus que son organisme sera usé, fatigué, sinon tout simplement en fin de vie. Et ce d'autant plus que son "usure" aura fait que diverses pathologies plus ou moins graves s'installent, assorties de leurs "traitements" souvent très lourds.

Jusqu'à début 2020, donc, la vie suit son cours normal. Jusqu'au début de la semaine 12 (16 mars 2020), où l'on voit le nombre de décès grimper en flèche, puis redescendre tout aussi rapidement et rejoindre le niveau habituel fin avril, début mai selon les régions. Très précisément pendant le confinement strict et l'arrêt de tous les soins.

Puis, toujours en 2020, nous voyons qu'à partir de la semaine 43, (vers la fin octobre) une remontée un peu plus progressive, mais presque aussi importante, puisque plus longue dans le temps, lors du deuxième confinement. Moins strict qu'au printemps, mais là aussi la monopolisation des lits pour les cas de supposés contaminations covidiennes aura retardé bien des opérations et autres soins...

Pendant tout le restant de l'année 2020, nous sommes très largement au-dessus de la "norme" des années précédentes. Jusqu'à la semaine 12 de 2021 (mi-mars). Ou un léger rebond se fait jour, suivi d'un retour à la normale, puis à la semaine 28 (12 juillet !!!), à nouveau au-dessus de la moyenne.

A noter que dans tous les graphiques, on ne peut prendre en compte au plus que les chiffres jusqu'à fin août 2021, (semaine 34 incluse) car toutes les données au-delà ne sont pas encore enregistrées.

En ne détaillant que 2020 et 2021 on obtient ceci :

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Et pour mieux affiner, si l'on se limite à 2021, on obtient ceci :

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Voici la même courbe, mais pour les différentes tranches d'âge :

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Première "anomalie" : la courbe des 15-44 ans. Car même si les plus âgés de cette catégorie ont pu maintenir le niveau élevé en début d'année, le rebond, à partir de la semaine 10 est lui anormal. Puisque c'est précisément à partir de cette date qu'ils ont été concernés par la vaccination.

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Même constat pour cette tranche d'âge 65-74 à partir de la semaine 10.

Et pour les plus anciens ci-dessous, comme pour tous les autres, à partir de la mi-juillet.

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Sur la plupart de ces graphiques nous voyons des "excès" au printemps, et plus tard, en été...

Voyons donc d'un peu plus près la surmortalité en 2021.

Non pas seulement pour la France, je le rappelle, mais dans l'ensemble des pays européens.

Tout d'abord lorsqu'on regarde ces mêmes données, mais en nombre cumulé cette fois, et ce, pour les années 2019, 2020 et 2021 pour la semaine 1 à 52, on obtient ceci :

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Dans lequel nous voyons que MALGRE LE VACCIN LA MORTALITE non seulement est largement au-dessus de 2020 en début d'année 2021, mais ensuite RESTE de plus en plus près du niveau de 2020 !!

Ce qui à minima nous prouve que le vaccin ne protège DE RIEN, même pas des formes graves, contrairement aux péroraisons gouverne-ment-ales, puisqu'on meurt tout autant cette année que l'année dernière, lors de la catastrophe sanitaire de la (fausse) pandémie.

Et si l'on regarde les différentes tranches d'âge, on devient de plus en plus songeur :Image10

Je rappelle : la courbe grise est pour 2019, la bleue foncé pour 2020 et la bleue claire pour 2021.

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Pour 2021, le nombre de décès est supérieur à celui de 2020. MALGRE LES INJECTIONS sensées nous protéger !!!

A noter que les plus de 85 ans sont décédés, soit l'année dernière, soit en début d'année 2021, ce qui est bien visible juste au-dessus. Et que cette même courbe monte de nouveau, maintenant qu'on leur injecte la troisième dose.

Que se passera-t-il cet hiver. Alors qu'on prétend nous injecter EN MÊME TEMPS dans un bras le potage covid et dans l'autre la soupe saisonnière (il ne faut quand même pas envoyer à la poubelle toute la production de chimères annuelles) ...

Aux Etats-Unis, la surmortalité explose depuis le mois de juin pour atteindre un niveau inégalé même pour les catégories d'âge très vaccinées.

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Pourtant en juillet le nombre de décès "covid" n'atteignait même pas le niveau du printemps. La surmortalité des 25-64 ans de juin à août ne peut pas s'expliquer par le Covid, ni le millésime 19 (disparu depuis, ni les nouvelles cuvées, comme le delta ou le mu ou n'importe quelle autre invention affublée d'une lettre de l'alphabet grec)

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En Israël chaque mois d'août on compte environ 3500 décès.

L'an dernier il y a eu 400 de plus officiellement liés au Covid (non vaccinés à l'époque)

Cette année, il y a 630 de plus attribués au Covid, dont 222 non vaccinés et 400 que n'expliquent pas le Covid.

Ainsi 10% des décès et la moitié de la surmortalité n'auraient pas d'explications ...

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Revenons en France.

La surmortalité apparaît nettement par rapport à 2020. Selon les chiffres de l'INSEE, entre le 1er janvier et le 30 août, nous avons en :

2021 : 438 430, en 2020 : 429 413, et en 2019 408393.

Donc en 2021 il y a eu 9017 décès de plus qu'en 2020 (malgré le Covid en 2020 !) et la bagatelle de 28415 par rapport à 2019 qui peut être considérée comme une année "normale".

Soit 6,957 % de plus en 2021 qu'en 2019 et tout de même 2,09 % en plus par rapport à 2020.

Selon Véran and Co, la surmortalité des plus de 75 ans représentée ci-dessous, jusqu'en été serait due au covid. Si on reste dans cette logique, pourquoi cette surmortalité est repartie à la hausse à partir d'août. De quoi sont décédées ces personnes puisqu'elles sont sensées être protégées des formes graves par leurs injections répétées (pour les plus anciens, supposés être les plus "fragiles", ce sera trois injections en neuf mois ! UNE TOUS LES TROIS MOIS EN MOYENNE !!! . La forme la plus grave du Covid étant semble-t-il le décès, non ? Pourquoi meurent-ils de plus en plus malgé leurs multiples injections ???

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Alors que si l'on se remémore le calendrier vaccinal tel qu'il a été mis en œuvre en France, les plus de 75 ans étaient les premiers à pouvoir "bénéficier" des bienfaits de l'injection.

Ce qui, si on met de côté le covid et ses copains les variants et autres véreux, la courbe ci-dessus ressemble étrangement au calendrier des diverses "injonctions" à l'injection ...

Et le même graphique pour toutes les catégories d'âge :

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La question est donc de quoi meurt-on le plus cette année ?

Covid 19 ? Variant alpha, delta, teta, mu ou n'importe quel autre faux nez de l'alphabet grec. (Une fois qu'il sera épuisé je suggère de passer à l'alphabet chinois, particulièrement approprié, d'une part pour l'origine supposée de ce qu'on appelle virus, et d'autre part, car c'est un alphabet d'idéogramme, donc quasi infini... On aura ainsi inventé une forme de mouvement perpétuel.

Cerise sur ce gâteau véreux, cet hiver, contrairement à l'année dernière, la grippe saisonnière est de retour !

Quel bonheur pour les fabricants de potions magiques, ils vont pouvoir vendre 3 injections pour le coronacircus et une autre en plus pour la grippe saisonnière par tête d'habitant ! 4 injections facturées 15 euros en moyenne par "shoot" par tête de pipe, multiplié par 7,5 milliards (4x15x7,5 Mds) ça leur ferait la coquette somme de 450 milliards chaque année.

Mais gageons que leurs profits ne demeureront pas éternellement.

Puisqu'à force d'envoyer de vie à trépas des parts de plus en plus importantes de la population, les "injectables" se feront de plus en plus rares.

Et que le jackpot risque fort de s'épuiser très vite....

Nous verrons à quel rythme à partir de cet hiver...

 

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