Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l'Humanité ?

A l'heure où il ne se passe pas une minute sans que l'on entende les mots "Covid" et "Vaccin", et à la veille de nouvelles restrictions liberticides sans aucun fondement sanitaire, il serait opportun de se poser quelques questions fondamentales. A commencer par :

Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’Humanité ?

Depuis le début du 20ème siècle, en gros les années 1900, tous les taux de mortalité ont connu une baisse spectaculaire de 74% dans les pays développés, en très grande partie grâce à une nette diminution des décès dus aux maladies infectieuses. Mais quelle est la part de cette diminution qui pourrait être attribuée aux vaccins ?

L’histoire et les données nous fournissent des réponses indiscutables.

Cette diminution de 74% a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité et de l’espérance de vie. La question est évidente : "Comment cela s'est-il produit ?".

Si l'on écoute les partisans des vaccins la réponse est simple : ce sont uniquement les vaccins qui nous ont sauvés. Alors que l'on peut réfuter cette thèse dominante et persistante avec la plus grande facilité grâce aux données de l'époque. La persistance de cette idéologie en dit long sur le monde dans lequel nous vivons en ce début de 21ème siècle et tout particulièrement depuis le début 2020.

En 1970, le docteur Edward H. Kass de l'université de Harvard a prononcé un discours à propos des vaccins devant ses condisciples lors de la réunion annuelle de l'Infectious Diseases Society of America. Il mettait ses collègues en garde contre le risque de se focaliser sur des aspects erronés s'ils tiraient de fausses conclusions quant aux raisons pour lesquelles les taux de mortalité avaient à ce point décliné. "…nous avions accepté quelques demi-vérités et avions cessé de chercher les vérités complètes. Les principales demi-vérités étaient que la recherche médicale avait éradiqué les grands fléaux du passé – tuberculose, diphtérie, pneumonie, septicémie puerpérale, etc. – et que la recherche médicale et notre système supérieur de soins étaient des facteurs majeurs d'allongement de l'espérance de vie, offrant ainsi au peuple américain le plus haut niveau de santé disponible dans le monde. Nous savons que ce sont des demi-vérités, mais sans doute pas suffisamment."

Le Dr Kass a ensuite partagé avec ses condisciples quelques graphiques révélateurs. Bien que ces graphiques n'incluaient pas ceux de la rougeole (le vaccin commençait seulement à être administré), la mortalité due à la rougeole avait depuis longtemps connu une baisse spectaculaire.

Il a partagé un graphique concernant la scarlatine, et bien qu'aucun vaccin n'ait jamais été développé contre cette maladie, la courbe du déclin ressemble beaucoup à celui de la rougeole et de la coqueluche.

Voici par exemple le cas de la Suisse entre les années 1885 et 2014, alors que la vaccination n'a été introduite qu'en 1987.

mortalité suisse       

On voit parfaitement dans le graphique suivant qui concerne les Etats-Unis, que l'influence de l'introduction des vaccins qui auraient éradiqué les différentes "épidémies" passées relève du plus pur fantasme. L'immense majorité de la décroissance s'est faite AVANT l'introduction du vaccin en question, et la décroissance NATURELLE de la courbe n'a en aucune façon été influencée.

mortalité USA avant vaccinations

Et nous retrouvons très exactement le même phénomène dans tous les autres pays "occidentaux" qui partageaient le même rythme d'amélioration des conditions de vie et d'hygiène.

Revenons au Dr Kass, qui essayait de sensibiliser ses collègues infectiologues à un aspect simple, mais qui a de profondes implications pour la santé publique.

Son argument extrêmement important était : "Ce déclin des taux de mortalité concernant certaines pathologies, approximativement corrélée aux contextes sociaux-économiques, constitue tout simplement l'évènement le plus important dans l'histoire de la santé des êtres humains, et pourtant nous n'avons que les notions les plus vagues et les plus générales sur la manière dont il s'est produit et sur les mécanismes par lesquels l'amélioration socio-économique et la baisse des taux de mortalité de certaines pathologies se chevauchent."

Le Dr Kass a demandé à ses condisciples de faire preuve d'ouverture pour déterminer POURQUOI les maladies infectieuses ont connu un déclin aussi spectaculaire aux Etats-Unis comme dans beaucoup de pays de l'ancien continent. Était-ce dû à la nutrition ? Aux méthodes sanitaires ? A la réduction du surpeuplement des habitations ? Nous avons depuis appris que la réponse à ces trois questions est : OUI !

Il a encouragé des collègues à bien se garder de conclusions hâtives, à rester objectifs et "à se consacrer à de nouvelles perspectives".

Ce discours a été imprimé intégralement dans une revue médicale, The Journal of Infectious Diseases et son titre est "Maladies infectieuses et changement social".

Il existe effectivement des données permettant de mesurer l'impact exact et précis des vaccins dans la protection de l'humanité.

En 1977, les époux John et Sonja McKinlay, épidémiologistes tous les deux à l'université de Boston ont publié un travail sur le rôle des vaccins dans le déclin massif de la mortalité observée au début du 20ème siècle. Ils ont mis en garde sur ce que nous observons aujourd'hui dans le monde vaccinal. Ils ont averti qu'un groupe de profiteurs pourrait s'attribuer plus de crédit pour les résultats d'une mesure médicale – les vaccins – que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde. (Toute analogie avec les évènements actuels ne serait que du plus pur conspirationnisme, bien entendu !).

Il convient de préciser que l'étude du couple McKinlay était autrefois une lecture obligatoire dans toutes les écoles de médecine. Publiée en 1977 par le Millbank Memorial Fund Quaterly, cette étude s'intitulait : "La contribution discutable des mesures médicales dans le déclin de la mortalité aux Etats-Unis au 20ème siècle".

L'étude a clairement prouvé, données à l'appui, quelque chose que les McKinlay ont reconnu comme pouvant être considéré comme une "hérésie" médicale. A savoir "que l'introduction de mesures médicales spécifiques et/ou l'expansion des services médicaux ne sont généralement pas responsables de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité". Par "mesures médicales", les McKinlay entendaient en fait TOUT ce que la médecine moderne avait inventé, qu'il s'agisse d'antibiotiques, de vaccins, de nouveaux médicaments, etc.

  • 92,3 % du déclin de la mortalité s'est produit entre 1900 et 1950. Soit AVANT que la plupart des vaccins n'existent.
  • Les mesure médicales "semblent avoir peu contribué pour la pneumonie, la grippe, la coqueluche et la diphtérie à des mesures médicales, alors que seuls 3,5% du déclin du taux de mortalité global peuvent être expliqués par des mesure médicales dans les principales maladies infectieuses considérées ici.

Ce qui fait que sur les 74% de déclin mentionnés en début de cet article, l'ensemble des mesures médicales, antibiotiques, vaccins, etc., n'ont contribué qu'au plus à hauteur de 1 à 3,5% maximum.

Autrement dit, 96,5% au moins du déclin total de la mortalité n'ont rien à voir ni avec les vaccins, antibiotiques et toute la "panoplie" des "nouveautés" dont la médecine moderne ne manque pas de se vanter. Prétendre dans ces conditions "être les sauveurs de l'humanité" relève de la plus pure escroquerie.

De plus les Mc Kinlay avaient écrit textuellement à l'époque : "Il n'est pas rare aujourd'hui que les connaissances biotechnologiques et les mesures médicales spécifiques soient invoquées comme la raison principale de la majeure partie du déclin de la mortalité moderne au 20ème siècle. La paternité de ce déclin est souvent revendiquée par les, ou attribuée aux, principaux bénéficiaires actuels de cette explication dominante". (Encore une fois toute analogie avec les évènements actuels est bien entendu interdite).

En 2000, les scientifiques du CDC ont reconfirmé toutes ces données, mais ont intégralement fourni un meilleur aperçu des éléments qui ont réellement provoqué ce déclin. Publié en septembre 2000 dans la revue Pediatrics et intitulé "Résumé annuel des statistiques de l'état civil : Tendances sur la santé des Américains au cours du 20ème siècle", des épidémiologistes issus de l'université John Hopkins et des CDC ont réaffirmé ce que les travaux du couple McKinlay nous ont déjà appris :"La vaccination n'explique pas les impressionnantes baisses de mortalité observées dans la première moitié du [20ème ] siècle … près de 90% de ce déclin du aux maladies infectieuses des enfants américains s'est produit AVANT 1940, à une époque où très peu d'antibiotiques et de vaccins étaient disponibles."

L'étude présente ensuite les éléments réellement déterminants dans ce déclin de mortalité, à savoir : "le traitement de l'eau, la sécurité alimentaire, l'élimination organisée des déchets solides et l'éducation du public sur les pratiques d'hygiène". De plus, "l'amélioration des logements qui a réduit le surpeuplement dans les logements des villes américaines" a joué un rôle majeur. De l'eau propre, des aliments sûrs, la nutrition, la plomberie, l'hygiène. Ce sont ces éléments qui ont permis cette baisse rapide de mortalité selon les données et publications scientifiques.

Les "fanatiques de la seringue" nous assomment régulièrement avec leur sacro-sainte "couverture vaccinale". Jamais atteinte pour aucun vaccin, car la barre est placée toujours plus haut au fur et à mesure de l'échec des campagnes "d'éradication".

Or, toujours à partir des données du CDC, en 1985 le taux de vaccination étaient pour les vaccins d'alors :

DTC (Diphtérie-Tétanos - Coqueluche) de 63%

Poliomyélite : 53%

MMR (ROR : Rougeole Oreillons – Rubéole) : 61 %

Il n'existait pas encore de vaccins pour l'hépatite B, le papillomavirus, l'influenza, les pneumocoques, les rotavirus, la méningite à Haemophilius influenza de type B, la varicelle, hépatite A, ni la méningite à méningocoques qui sont aujourd'hui administrés aux enfants.

Aujourd'hui, avec les obligations plus ou moins directes en vigueur partout, la couverture vaccinale est bien plus importante que le petit 60% en moyenne évoqué ci-dessus.

Pour la panique covidienne actuelle nous sommes en majorité autour de 90% de la population adulte et autour de 70% de la population totale de "couverture vaccinale". A ce niveau, nous devrions planer au nirvana du mythe de l'immunité collective. C'est en tous cas ce qu'on nous a promis au départ…

Les partisans des injections à répétition citent souvent les statistiques a priori alarmantes concernant les décès imputables à des maladies infectieuses, au premier rang desquelles la rougeole. Ce qu'ils "oublient" de mentionner, c'est que les décès provoqués par les maladies infectieuses se produisent dans des régions où la qualité de vie est encore comparable à celle des enfants américains (et européens) du début des années 1900. De plus, vacciner des enfants qui vivent dans des conditions souvent d'une précarité extrême ne permettra pas de réduire la mortalité. Probablement bien au contraire. Un enfant en sous-nutrition permanente, vivant dans des conditions d'hygiène déplorables n'est pas en mesure "d'encaisser" le choc INFECTIEUX supplémentaire produit par un vaccin. Et d'autre part dans nos régions, Europe occidentale, Amérique du Nord, depuis l'introduction de la vaccination rougeole obligatoire, l'âge auquel cette maladie se manifeste n'est plus celui où elle était très majoritairement bénigne, mais s'est décalée vers les adolescents, jusqu'au adultes d'un côté, et de l'autre vers les nouveau-nés. Et dans les deux cas, la maladie devient plus grave…

Une autre étude, celle du Docteur Peter Aaby, publiée en 2017 dans la revue à comité de lecture EBioMedicine et qui s'intitule "L'introduction du vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche et du vaccin oral contre la polio chez les jeunes enfants dans une communauté urbaine africaine : une expérience naturelle". [Une expérience naturelle est une étude empirique dans laquelle les individus – ou des groupes d'individus – sont exposés aux conditions expérimentales et de contrôle qui sont déterminées par la nature ou par d'autres facteurs échappant au contrôle des chercheurs. Le processus régissant les expositions ressemble sans doute à l'assignation aléatoire. Ainsi, les expériences naturelles sont des études d'observation et ne sont pas contrôlées dans le sens traditionnel d'une étude randomisée.]

Un groupe de chercheurs de différentes ONG a examiné de près les données de la Guinée-Bissau en Afrique de l'Ouest. Les scientifiques de cette étude ont étudié de très près les concept "d'effets non spécifiques" des vaccins, une belle formule pour dire que les vaccins peuvent rendre un enfant plus sensible à d'autres infections. Ils ont découvert que les enfants qui avaient été vaccinés avec le vaccin DTC (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche) "étaient associés à une mortalité cinq fois plus élevée que ceux qui n'étaient pas vaccinés". Aucune étude prospective n'a démontré les effets bénéfiques du DTC sur la survie … Le DTC est le vaccin le plus largement utilisé … Toutes les preuves actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC pourrait tuer plus d'enfants d'autres causes qu'il n'en sauve de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche. Bien qu'un vaccin protège (peut-être) de la maladie ciblée, il peut simultanément augmenter la susceptibilité à des infections non liées."

Pour les profanes, cela signifie que donner le vaccin DTC à un enfant africain lui fait courir le risque de développer d'autres infections. Que les conditions de vie soient plus importantes que le vaccin est en Afrique une évidence, comme on peut s'y attendre à la lumière des travaux de Drs Kass et McKinlay.

Un enfant sur deux

Le Dr Archie Kalokerinos a fait, comme il l'explique, un simple constat dans son ouvrage "Every Second Child".

"Au début, ce n'était qu'une simple observation clinique. J'ai observé que de nombreux nourrissons, après avoir reçu des vaccins de routine comme le tétanos, la diphtérie, la polio, la coqueluche ou autre, tombaient malades. Certains sont devenus extrêmement malades, et en fait certains sont morts. C'était une observation, pas une théorie. Ma première réaction a donc été d'examiner les raisons pour lesquelles cela se produisait. Bien sûr, j'ai découvert que la probabilité était plus grande chez des nourrissons qui étaient malades au moment de recevoir un vaccin, ou des nourrissons qui avaient été malades peu avant, ou des nourrissons qui incubaient une infection. Certaines des réactions au vaccins n'étaient pas celles qui figurent dans la littérature standard. En fait elles étaient très étranges. Une troisième observation était qu'avec certaines de ces réactions qui entraînent la mort, j'ai découvert que je pouvais les inverser en donnant de grandes quantités de vitamine C par voie intramusculaire ou intraveineuse. Au lieu de s'intéresser à ces observations, les autorités se sont au contraire montrées très hostiles. Ce qui m'a incité à approfondir la question vaccinale. Et plus j'avançais plus j'étais choqué. J'ai découvert que toute l'affaire des vaccins était en effet un gigantesque canular. La plupart des médecins sont convaincus de leur utilité, mais si vous examinez les statistiques appropriées et que vous étudiez le cas de ces maladies, vous vous rendez compte qu'il n'en est rien."

Le Dr Kalokerinos a, en 1995 également dit quelque chose que l'étude du Dr Aaby semble avoir pu corroborer en 2017 : "Et si vous voulez voir les effets néfastes des vaccins, ne venez pas en Australie ou en Nouvele-Zélande où n'importe où ailleurs, allez en Afrique, et vous le verrez là-bas."

L'anglais John Thomas Biggs était l'ingénieur sanitaire de sa ville de Leicester et devait répondre activement aux épidémies de variole. Il a rapidement appris que les résultats de l'assainissement en matière de santé publique l'emportaient largement sur l'impact de la vaccination – dont il a constaté les dommages dramatiques et l'inefficacité. En 1912 il a écrit un ouvrage déterminant, "Leicester Sanitation versus Vaccination". Biggs a donc découvert il y a plus de cent ans ce que le CDC a réaffirmé en 2000, à savoir que rien ne protège des maladies infectieuses comme un bon assainissement.

Le Docteur Andrew Weil, célèbre médecin souvent cité, renforce ce point en expliquant "que la médecine s'est attribué le mérite de certaines avancées médicales qui ne lui reviennent pas. La plupart des gens pensent que la victoire sur les maladies infectieuses du siècle dernier est due à l'invention des vaccins. En fait le choléra, la typhoïde, le tétanos, la diphtérie, la coqueluche ainsi que d'autres maladies étaient en déclin bien avant que les vaccins pour ces maladies n'étaient disponibles. Et ceci uniquement en raison des meilleures méthodes d'assainissement, d'évacuation des eaux usées, et de distribution de nourriture et d'eau."

"Les leçons du confinement" de Amy Becker et Mark Blaxill pose la question : Pourquoi le nombre d'enfants décédés pendant le confinement était-il si faible ? Et surtout la baisse des décès de mort subite du nourrisson a-t-elle été la conséquence de la diminution de la vaccination pendant cette période ? Ils écrivent : "Le Covid-19 est unique parmi les "pandémies" récentes en ce sens que le bilan de la mortalité est mesurable, réel et convaincant. Il est également presque certain qu'il sera transitoire, mais cela n'empêchera pas la progression de l'écrasante propagande qui l'accompagne. Cependant, comme le dit le proverbe, "les plans les mieux conçus partent souvent à vau-l'eau". Ce qui personne n'aurait pu prévoir avant le Covid-19, c'est que cette mesure extrême de confinement a produit une expérimentation naturelle qui remet en question les actions mêmes préconisées depuis des années par la communauté des maladies infectieuses et de la santé publique, à savoir les vaccinations obligatoires et généralisées pour tout le monde. Nous devons déplorer la mort des personnes âgées dans les maisons de retraite de Manhattan, mais aussi tenir compte des centaines de décès de nourrissons qui ont été évitées. Ce n'est qu'avec un tel équilibre que nous pourrons tirer les leçons qui s'imposent quant à la pandémie et aux mesures de confinement qui ont suivi."

Pour conclure, au moins provisoirement, puisqu'aucune aucune conclusion ne saurait être définitive !

Les vaccins n'ont pas sauvé l'humanité. Leur impact se situe au plus entre 1 et 3.5 % de la baisse totale des taux de mortalité. A un niveau totalement imperceptible. D'autant que pour être vraiment factuel il faudrait mettre dans cette "balance bénéfices/risques" les effets dits "secondaires" de ces injections. …. Ce qui est très loin d'être évident. Ce ne sont que l'amélioration des conditions de vie qui ont véritablement permis ce déclin.

Prétendre vouloir vacciner la planète entière pour toutes les maladies, comme le supposé covid-19, ne sert qu'à intimider, culpabiliser et effrayer les parents et toute la population. Les vaccins ne peuvent au mieux qu'étouffer provisoirement "l'éclosion" de certaines maladies.

Mais à quel prix ?

En en créant de nouvelles ?

Plus graves que celles qu'on prétendait vouloir éviter ?

Voire mortelles ?

Toute la théorie vaccinale ne repose que sur deux "cas". Le premier, celui d'un médecin de campagne anglais Edward Jenner avec la variole, (dont il n'a "vacciné" qu'un seul de ses enfants) et dont on a vu les ravages post-vaccinaux dans les publications de l'époque. Alors que "son" vaccin n'a pas permis d'éradiquer la variole, bien au contraire. Et celui du petit Joseph Meister que Pasteur prétend avoir protégé de la rage grâce aux injections de son "sérum", injections faites par le Dr Roux son assistant, car lui-même n'était pas médecin, seulement chimiste, n'avait pas le droit de manier la seringue. Alors que le chien qui a mordu le petit Joseph Meister a aussi mordu d'autres personnes, qui n'ont jamais développé la rage bien que n'ayant pas été vaccinées. De plus il n'a jamais été prouvé que le chien en question était vraiment enragé. Tout repose donc sur ces deux cas UNIQUES. Totalement biaisés dès le départ. Tout comme toutes les "études" déposées par les laboratoires pharmaceutiques actuels lorsqu'ils veulent obtenir une autorisation de mise sur le marché. Les deux cas, de Jenner et de Pasteur ont été à l'évidence montés en fables. Et ces mensonges ont été assénés inlassablement depuis plus d'un siècle dans le cerveau des populations, qu'il est impossible de remettre en doute quoi que ce soit de cette religion sectaire sans se faire immédiatement excommunier. Voir à ce sujet l'excellent ouvrage du Dr Peter Goetsche "Remèdes mortels et crime organisé".

Bien évidemment il appartient à chacun de faire son choix.

Et de continuer, ou non, de croire que se faire injecter obligatoirement pendant ses deux premières années de vie onze vaccins combinés représentant plus de 75 valences de maladies différentes, puisse "protéger" nos nouveaux nés sans "casser" et déboussoler leur système immunitaire en train de se former, et donc fabriquer d'autres problèmes, même si les injections arriveront peut-être à masquer certaines maladies pendant un certain temps.

Et de continuer ainsi toute sa vie, à se faire injecter des "rappels" et aussi le vaccin "contre" la grippe saisonnière, qui est diffusé massivement depuis plus de 50 ans, mais qui n'a pas permis d'éradiquer la grippe, qui revient imperturbablement chaque année, avec d'autres "souches" nous dit-on. Comme le Covid-19 qui mute continuellement, et semble-t-il tout particulièrement "grâce" aux personnes injectées.

Le vaccin "contre" le Covid-19 ne sera pas différent de celui de la grippe saisonnière, même si pour les besoins marketing du coronacircus, celle-ci a littéralement disparu des radars l'année dernière. A ce jour, après une année exactement, nous en sommes déjà à la troisième injection en France, et que le Covid est toujours présent quelle que soit la lettre de l'alphabet grec dont on va l'affubler.

Ceci malgré la gesticulation dite "barrière", et malgré les rappels d'injection de plus en plus rapprochées, pour tenter de masquer leur inefficacité et leurs autres conséquences.

Peut-on encore parler de science, ou pas plutôt de croyance charlatanesque ?

A chacun de se faire son opinion.

La mienne est faite.

Bibliographie :

ETUDE SUR LA VACCINATION ou l'inoculation du virus-vaccin (cow-pox) par le Dr J. Emery-Coderre

LA (BONNE) SANTE DES ENFANTS NON-VACCINES par la Dr Françoise Berthoud

L'apport de la vaccination à la santé publique par le Professeur de biologie Michel Georget

Vaccinations, les vérités indésirables par le Pr. Michel Georget

Meurtre par injection par Eustace Clarence Mullins

Vaccins Abus de conscience par le Dr Alain Perrier

Le mythe de la contagion

Virus et vaccins, quelques réalités incontournables

 

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